1820 à 1940
La croissance
1820
La maison Morot existe depuis le commencement 19ème Siècle. Dès 1820, Philibert Jacques Angélique Morot vendait le vin de ses vignes, qu’il expédiait par le roulage (voitures à cheval). En 1860, il faisait le commerce de ses vins avec ses deux fils : Simon (basé à Rouen, noeud commercial important à l’époque) et Albert resté à Beaune.
1880
A partir de 1880, à l’âge de 50 ans, Albert continue seul l’activité sous son nom : Albert Morot.
Ce nom a été conservé par sa fille unique, Berthe, et son gendre, Louis Jean Blanlot.
Ce dernier achète le parc de la Creusotte et fait construire le château (1898). Il profite aussi des prix peu élevés des vignes lors de la crise du phylloxéra pour en acheter quelques hectares (1890).
Louis Jean Blanlot disparait prématurément à l’âge de 52 ans, laissant sa femme Mme Berthe Blanlot diriger la maison avec l’assistance de ses deux gendres.
Ce sera une de ses deux filles, Yvonne, qui lui succédera en 1926 alors remariée avec Albert Choppin, son premier mari étant décédé au front pendant la guerre de 14-18.
La société déménage, vend ses locaux, caves et magasins situés à Beaune, rue Sainte Marguerite, pour regrouper l’ensemble de ses activités au Château de la Creusotte ; les chais sont agrandis.
1940 à 1976
Des années difficiles
1940-1945
Le domaine subit la guerre, le vin est réquisitionné pour être vendu aux Allemands. Le château sera même habité quelques jours par les troupes d’occupation.
L’après-guerre est difficile. La consommation des vins est faible. La maison doit faire face à des difficultés financières et doit se résoudre à vendre 2 hectares de vignes.
1952
Guy Choppin, le fils aîné d’Yvonne, à l’âge de 23 ans reprend la tête du domaine. Les ventes reprennent peu à peu.
1980 à nos jours
La reconstruction
1984
Françoise, la soeur de Guy, reprend la suite et arrête toute activité de négoce pour se concentrer sur ses propres vignes. Elle développe les ventes à l’export (débutées après la première guerre mondiale) et accroît la qualité de ses vins.
2000
Geoffroy Choppin de Janvry, son petit-neveu, poursuit la démarche qualitative entamée par sa tante. Ingénieur agronome, il va tout mettre en oeuvre pour obtenir des raisins de grande qualité : travail à la vigne, vendanges en vert et effeuillage, double tri au moment des vendanges pour un minimum d’intervention à la cave.
2009-2015
Après différents essais probants, Geoffroy s’engage dans la voie de l’agriculture biologique. Son premier millésime certifié est l’année 2015.
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1820 - 1940 La croissance
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1820 à 1940
La croissance
1820
La maison Morot existe depuis le commencement 19ème Siècle. Dès 1820, Philibert Jacques Angélique Morot vendait le vin de ses vignes, qu’il expédiait par le roulage (voitures à cheval). En 1860, il faisait le commerce de ses vins avec ses deux fils : Simon (basé à Rouen, noeud commercial important à l’époque) et Albert resté à Beaune.
1880
A partir de 1880, à l’âge de 50 ans, Albert continue seul l’activité sous son nom : Albert Morot.
Ce nom a été conservé par sa fille unique, Berthe, et son gendre, Louis Jean Blanlot.
Ce dernier achète le parc de la Creusotte et fait construire le château (1898). Il profite aussi des prix peu élevés des vignes lors de la crise du phylloxéra pour en acheter quelques hectares (1890).
Louis Jean Blanlot disparait prématurément à l’âge de 52 ans, laissant sa femme Mme Berthe Blanlot diriger la maison avec l’assistance de ses deux gendres.
Ce sera une de ses deux filles, Yvonne, qui lui succédera en 1926 alors remariée avec Albert Choppin, son premier mari étant décédé au front pendant la guerre de 14-18.
La société déménage, vend ses locaux, caves et magasins situés à Beaune, rue Sainte Marguerite, pour regrouper l’ensemble de ses activités au Château de la Creusotte ; les chais sont agrandis.
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1940 - 1976 Des années difficiles
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1940 à 1976
Des années difficiles
1940-1945
Le domaine subit la guerre, le vin est réquisitionné pour être vendu aux Allemands. Le château sera même habité quelques jours par les troupes d’occupation.
L’après-guerre est difficile. La consommation des vins est faible. La maison doit faire face à des difficultés financières et doit se résoudre à vendre 2 hectares de vignes.
1952
Guy Choppin, le fils aîné d’Yvonne, à l’âge de 23 ans reprend la tête du domaine. Les ventes reprennent peu à peu.
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1980 - Aujourd’hui La reconstruction
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1980 à nos jours
La reconstruction
1984
Françoise, la soeur de Guy, reprend la suite et arrête toute activité de négoce pour se concentrer sur ses propres vignes. Elle développe les ventes à l’export (débutées après la première guerre mondiale) et accroît la qualité de ses vins.
2000
Geoffroy Choppin de Janvry, son petit-neveu, poursuit la démarche qualitative entamée par sa tante. Ingénieur agronome, il va tout mettre en oeuvre pour obtenir des raisins de grande qualité : travail à la vigne, vendanges en vert et effeuillage, double tri au moment des vendanges pour un minimum d’intervention à la cave.
2009-2015
Après différents essais probants, Geoffroy s’engage dans la voie de l’agriculture biologique. Son premier millésime certifié est l’année 2015.
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Louis Jean Blanlot et son épouse Berthe, née Morot
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Françoise Choppin
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Geoffroy et Marie-Odile Choppin de Janvry
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Boumba
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Geoffroy Choppin de Janvry